Papillote de cabillaud, sauce douce

cabillaud en papillotte sauce douce

Voici une recette originale et facile avec cette papillotte de cabillaud, sauce douce.

Ingrédients pour 4 personnes :

  • 2 gousses d’ail
  • 1 citron vert
  • 4 cuil. à soupe de sauce de soja
  • 1 cuil. à soupe de sauce d’huître
  • 4 pincées de piment d’Espelette
  • 1 cuil. à soupe de sirop d’agave (ou miel)
  • 30 g de beurre demi-sel
  • 600 g de cabillaud
  • 2 sucrines
  • 1 cuil. à café de gingembre frais râpé
  • Quelques pincées de gomasio
  • Quelques herbes fraîches

Papillote de cabillaud, sauce douce

– Eplucher et hacher les gousses d’ail.

Laver le citron, préparer des zestes.

– Dans une casserole, verser la sauce de soja, la sauce d’huître, le piment, le sirop d’agave, l’ail haché et le beurre. Faire fondre à feu doux et mélanger.

Pour la papillote de cabillaud :

Préchauffer le four à 200 °C (th. 6/7).

– Couper le poisson.

Laver les sucrines. Les émincer.

– Prendre une grande feuille de papier de cuisson, disposer les morceaux de poisson et l’émincé de sucrines. Verser la sauce. Ajouter les zestes de citron vert.

Réduire la température du four à 180 °C (th. 6), laisser cuire pendant 20 minutes.

– Au moment de servir, saupoudrer de gomasio et d’herbes fraîches (coriandre, persil, basilic).

– Accompagner de riz, de pommes de terre vapeur ou d’une poêlée de légumes.

En savoir plus à propos du cabillaud

Peuplant les eaux froides de l’Atlantique nord, du Canada à la mer de Barents, le cabillaud est l’un des poissons préférés des Français. Poisson blanc vendu en filets, frais ou surgelé, il prend le nom de « morue » lorsqu’il est salé. Les amateurs consomment volontiers les joues, morceaux fondants et sans arête ; les rogues, poches d’oeufs transformés en tarama ; le foie ou encore la langue si savoureuse.

Vin pour accompagner le cabillaud

Face à la douceur que donne le sirop d’agave, l’ail, la sauce de soja, le gingembre ainsi que le piment d’Espelette apportent par leurs dimensions piquante, salée et chaleureuse du relief et du caractère. Cette préparation riche en saveurs et senteurs appelle naturellement des vins eux mêmes soutenus, à moins que l’on souhaite un vin qui joue seulement le rôle d’un liant entre toutes les nuances du plat.

Dans le premier cas, un Gewurtztraminer d’Alsace, avec sa douceur, ses notes florales et exotiques ajoutera sa partition pour une alliance à la fois complexe et douce. Un Côtes du Roussillon rosé, en revanche, saura se faire discret sans pour autant disparaître, devenant le véritable ciment de l’accord.

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M. Chassin

Recette : A. Beauvais, Photo : F. Hamel