Le taro en résumé :
Nom latin : Colocasia esculenta
Noms communs : Taro, chou caraïbe, madère, songe, dachine, malanga
Famille : Aracées
Types : Vivace, légume
Hauteur : 1 m à 1,50 m
Distance de plantation : 50 cm
Exposition : Ensoleillée à mi‑ombragée
Sol : Non‑calcaire, meuble et humifère
Plantation : Mars‑avril – Récolte : Décembre‑janvier
Taro, madère, songe, dachine, malanga ou encore chou caraïbe ; derrière toutes ces appellations, se cache une plante vivace tubéreuse aux nombreux intérêts. En effet, elle est à la fois esthétique, avec ses grandes feuilles cordiformes, et comestible puisque l’on peut consommer ses rhizomes et son feuillage. Originaire des pays tropicaux, le taro demandera néanmoins quelques attentions pour en profiter dans votre jardin ou votre potager.
Plante exotique par excellence, le taro a besoin de certaines conditions pour s’épanouir :
Si vous résidez dans le sud de la France ou en Outre‑mer, vous pourrez le cultiver sans grande difficulté. En revanche, dans les autres régions, la culture sous serre devra être privilégiée pour obtenir des résultats.
Si votre sol ne remplit pas les conditions de fertilité et de texture requises, vous devrez procéder à quelques travaux durant l’automne précédent la plantation :
Conseil malin et écologique : pensez à nos précieux auxiliaires les vers de terre et évitez d’utiliser une bêche pour réaliser le bêchage. Vous limiterez ainsi les impacts négatifs sur la faune du sol.
Pour faciliter la reprise et gagner du temps, la plantation se réalise en deux étapes :
À l’instar des pommes de terre, le taro nécessite un léger buttage en cours d’été. Vous favoriserez ainsi la production de nouveaux rhizomes. Pour maintenir un beau feuillage et soutenir sa croissance, vous devrez également réaliser des arrosages réguliers ; a fortiori en cas de sécheresse prolongée.
Conseil malin : pour limiter les pertes en eau et conserver l’humidité du sol, vous pouvez appliquer un paillage épais au pied de votre plante. Le paillis permettra également de préserver une certaine chaleur dans le sol à l’approche de l’hiver.
Si le taro n’est pas spécialement sensible aux maladies, il peut en revanche être la cible de quelques parasites et ravageurs tels que :
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Si possible, la récolte des rhizomes doit être effectuée en fin d’année. Vous leur laisserez ainsi le temps de se former. Une fois récoltés, ils peuvent se conserver dans du sable et au frais.
Il est néanmoins recommandé de les manger rapidement après arrachage pour profiter de leurs valeurs gustatives et nutritives.
Les feuilles, quant à elles, se cueillent jeunes et sont à consommer dans la foulée.
Si la culture du taro peut ressembler à celle de la pomme de terre, il en va de même pour la préparation de ses rhizomes. Vous pouvez ainsi les accommoder en gratins, en soupes, à la poêle, etc. Vous serez également surpris par leur texture légèrement farineuse et leur saveur pouvant évoquer celle de la châtaigne.
Pour finir, sachez que les jeunes feuilles peuvent être cuisinées de la même façon que les épinards.
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Je suis une personne qui aime planter des noyeau pour en savoir si
Peut-on planté un bulbes de tarot dans un pot sur le balcons merci j’adore m’être en terre tout se qui peut êtres racine et bulbes merci pour tout ses renseignement
Excellent vos informations… j’a i été nourri au Taro dans mon enfance dans les îles, en Polynésie fr. C’est une nourriture pour des gens costauds et de grande taille.