Plantes vertes en vogue

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Faciles à vivre et originaux, le rhipsalis et le zamioculcas sont de plus en plus présents dans les boutiques et jardineries.

Découvrez ces deux belles plantes.

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Carte d’identité

RhipsalisPlante succulente, membre de la famille des cactacées, le rhipsalis vient des forêts d’Amérique Centrale et du Sud.

On le trouve aussi sur certaines îles de l’Océan Indien et en Afrique, où il s’épanouit sur les troncs d’arbre à l’ombre de leur feuillage.

Il se décline en de nombreuses variétés de différentes teintes et formes (tiges plates ou plus ou moins charnues), avec un point commun : pas d’épines et de longs rameaux qui en font une plante « chevelue ».

Originaire des plaines rocheuses d’Afrique de l’Est, le zamioculcas présente d’épaisses tiges couvertes de feuilles charnues d’un beau vert brillant.

Habitué à l’aridité, il ne craint pas les oublis d’arrosage.

Entretien

ZamioculcasPas exigeants, rhipsalis et zamioculcas peuvent être placés à l’ombre comme à la lumière et n’ont besoin que d’un arrosage modéré, une fois par semaine, voire tous les quinze jours en hiver. Tous deux craignent l’humidité stagnante, veillez à composer une bonne couche drainante au fond de leur pot et à ne pas laisser de l’eau dans leur soucoupe.

Installez votre rhipsalis en hauteur, en suspension ou sur un meuble, pour profiter de son feuillage tombant. Quand les tiges deviennent trop longues, taillez-les.

La croissance du zamiculcas sera favorisée par un grand pot (il peut atteindre un mètre de haut). Si vous souhaitez le garder petit, laissez-le dans son pot d’origine. Vous pouvez ajouter un peu d’engrais en période de croissance (été). Passez de temps en temps ses feuilles à l’éponge pour conserver leur aspect lustré.

Dans les deux cas, il s’agit de plantes tropicales qui n’apprécient guère l’air sec. En hiver quand la maison est chauffée, mieux vaut donc les grouper et les vaporiser régulièrement avec de l’eau sans calcaire.

Multiplication

Les tiges du rhipsalis se bouturent facilement dans un mélange acide de terre de bruyère et de sable. Même chose pour celles du zamioculcas, qui peuvent aussi être bouturées dans l’eau.

L. H.

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Crédit des visuels : Office des fleurs