Intelligent avec une forte envie de faire plaisir à son maître, l’éducation du staffie est facile si l’on emploie la fermeté et la douceur. En effet, il ne faut en aucun cas utiliser la manière coercitive au risque de réveiller les instincts de combat du staffie. Voici quelques conseils pour y parvenir.
Des caractéristiques du terrier :Selon le classement de la Fédération Cynologique internationale, le staffie ou Staffordshire Bull Terrier appartient au groupe 3, le groupe des terriers (section 3 terrier de type bull).
Par conséquent, il possède un caractère têtu, affirmé, loyal et courageux auquel s’ajoutent des similitudes physiques avec le bulldog comme la musculature, la puissance et l’endurance.
Très attaché à sa famille, le staffie ne supporte pas les longues absences. La solitude et l’ennui le conduisent à détruire ou à se mutiler.
Intelligent, le staffie est très réceptif. La réussite de son éducation dépend en grande partie de son environnement et de l’investissement de son propriétaire.
Très affectueux, le staffie a besoin d’un maître démonstratif qui a du temps à lui consacrer.💡Rencontrer des congénères et d’autres personnes que celles de son clan social permet de ne pas avoir un staffie peureux, timide, craintif ou qui se désociabilise.
Loyal avec une forte envie de faire plaisir, le staffie aime apprendre. L’éducation positive qui repose sur le renforcement des bons comportements en ignorant les mauvais fonctionne très bien avec cette race vive et à l’écoute. On doit commencer à la mettre en pratique dès l’arrivée du staffie à la maison et la poursuivre tout au long de sa vie. La régularité est très importante pour stabiliser le caractère de cette race.
Pour aller plus loin :
L’éducation du staffie passe par les apprentissages communs à tous les chiens pour vivre en harmonie avec sa famille et dans les lieux publics.
À lire aussi :
Particulièrement puissant et musclé à l’âge adulte, le staffie doit apprendre la marche en laisse très tôt pour pouvoir être maîtrisé.
©Olgai, ©freepik, ©freepik, ©freepik.
